Monsieur le Directeur des Ressources Hmaines "Seguni Amar"qui est originaire de Guelma vient compléter la liste des magouileurs pour , et qui n'a rien avoir avoir avec les Forces DAT " ramené comme dilateur par l'EX CFDAT BAAZIZ ,maintenu pour ce meme poste, se livre au magouillage en duel avec le Lt Col Rahal, pour avantager les Guelmais, le Grade les Stages à l'étranger.

En ce qui concerne la mutaion dans la DAT elle se fait comme suit:

Le Lt colonel Bouaza qui occupe actuellement le poste de Directeur des Services Communs, utilise son origine, pour faire pression sur tout lemonde, en faisant croire qui a de bonne relation avec le frère du président Said Bouteflika.

Le nommé Aounallah Rachid perçoit régulièrement des sommes variant de 50 000 à 300 000 DA...uniquement pour faire muter ou aider les officiers à etre promu.

La pratique de la commission occulte est devenue quasi-systématique dans la promotion au niveau des Forces DAT, il est à  souligner que ce «fléau» constitue un obstacle réel et dangereux face au développement de ce corps.

Un surnommé ‘’B.L’’, aurait versé des pots-de-vin à des colonels en 2007, afin de partir en stage à l’étranger, encore il versait en 2010 une somme avoisinant les 15 000 euros pour qu’il passe au grade.

Parmi ces colonels : Le colonel Bouhmidi ancien chef de la DMSA, qui devient commissionnaire auprès du nouveau chef de la DMSA le colonel Benbaatouche, ce nouveau voyou qui venait de le remplacer, qui ne voit que de l’argent et une maitresse.

Le colonel Bouhmidi aurait reçu de fortes sommes entre 2007 et 2008, à un moment où ce dernier aurait fait chef de la DMSA. Ce colonel voyou aurait perçu pour les deux seules années 2007 et 2008, 60 000 euros de commissions de la part du groupe désigné pour faire un stage  en Russie.

Dans cette nouvelle culture des forces DAT,  ce n’est pas uniquement l’argent qui est accepté comme pot de vin mais aussi, vous pouvez quand même troquer un lot de ciment contre un grade, ce chantage  était exercé par le Lt colonel qui répond aux initiales N.N.